CONFIDENCE and the brain - Part 1 - the N in NeuroLanguage Coaching®
En français plus bas, juste après l'anglais
“The moment you doubt whether you can fly, you cease forever to be able to do it.” – J.M. Barrie (Peter Pan)
“In the intricate landscape of the human brain, confidence emerges as a dynamic and influential force, shaping our perceptions, decisions, and behaviors.”
I can’t find where I noted this sentence from, but I love it. Understanding the neuroscience behind confidence can give very useful (and very valuable) insights into how it affects our lives. We can use this awareness to improve our self-belief and our performance.
It’s an on-going battle for most of us but understanding where it comes from is a tool we can never unlearn and always use.
Key Brain Regions Involved in Confidence
Orbitofrontal Cortex - a part of the prefrontal cortex: identified as a key hub for figuring out how confident we feel about our decisions. Neurons in the orbitofrontal cortex encode decision confidence - the level of certainty a person feels about the correctness of a decision they’ve made.
Amygdala: processes emotional responses, particularly fear and anxiety. The amygdala's activity can be modulated by confidence. High confidence levels can reduce fear and anxiety, positively influencing perception and emotional well-being.
Hippocampus: involved in memory and learning, the hippocampus supports confidence by helping individuals recall past successes, reinforcing a positive self-image and influencing perception.
How can we become (more) confident?
1 - Building confidence through neuroplasticity
Once we understand the neuroscience of confidence, we can use the knowledge to develop strategies that over-ride our limiting (and often negative) self-believes and improve our overall well-being.
Neuroplasticity is the incredible ability of our brain to change and adapt over time. This means that our brain can create new neural connections - and even produce new neurons - as we learn and experience life. Our brain evolves from the moment we're born until our last breath. We can grow and change positively at any time, regardless of our age. So, being negative or lacking self-confidence isn't an inevitable fate!
How?
By training our brain to see things from a different angle. Imagine you're teaching your brain a new language: the language of positive thinking. Start with small daily exercises, like identifying one positive thing each day, even in difficult situations. Challenge your negative thoughts by looking for evidence to the contrary. Surround yourself with optimistic and inspiring people. Practice gratitude by regularly noting what you're thankful for. As with any learning process, consistency is key. Changes won't happen overnight, but every small step counts. And the good news is, you can start right now!
I talked a lot about positivity and the brain, here. In a nutshell, once you’re aware of your self-limiting believes, it’s much easier to catch yourself being negative and do something about it.
2 - Overcoming biases
A lack of confidence can lead to cognitive biases such as:
Self-doubt involves questioning one's abilities and decisions, often leading to hesitation in pursuing goals. Self-doubt can prevent you from taking action due to a fear of failure or inadequacy. So, if you second-guess yourself all the time, it might be time to work on building up your confidence and learning to trust yourself more.
Negative self-talk refers to the internal dialogue that is critical and undermining. It also reinforces beliefs of inadequacy and failure. This type of self-talk can be a barrier to developing self-confidence and achieving personal and professional goals. You’re going to have to start being nicer to yourself. And yes, as we saw earlier, it’s something you can learn to do.
Impostor syndrome is characterized by feelings of being a fraud and not deserving one's achievements. When we have imposter syndrome, we often attribute our successes to external factors like luck or coincidence rather than our abilities. This can lead to chronic anxiety about being exposed as incompetent, despite evidence of the contrary. Impostor syndrome is distinct from a general lack of confidence because it persists even when we are successful.
If you want to know more about biases, I wrote about it here.
Strengthening our self-confidence in the ways mentioned above - which we’ll talk about more in detail in our “Confidence and Coaching” newsletter coming up - can rewire the brain, reducing these biases and cultivating a more confident mindset. It’s a virtuous circle.
We can also talk about it if you want to know more, contact me at ftemmar@englishwithferiel.com or on social (linkedin, instagram).
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If you want to know more about my sources, click here, the videos are so interesting
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A nous!
“Dans le paysage complexe du cerveau humain, la confiance en soi apparaît comme une force dynamique et influente, qui façonne nos perceptions, nos décisions et nos comportements.”
Je ne sais plus d’où j'ai noté cette phrase, mais je l'adore. Comprendre ce qui se passe dans notre cerveau quand (et comment et pourquoi) on n’a pas confiance en soi peut donner des indices (utiles et précieux) sur la manière dont ce manque de confiance affecte notre vie. On peut - dans un 2ème temps - utiliser cette prise de conscience pour reprendre confiance en soi et par conséquent, améliorer sa vie - rien de moins !
Comprendre d'où vient ce manque de confiance en soi est un outil qu'on ne peut jamais désapprendre et qu'on peut toujours utiliser.
Principales régions du cerveau impliquées dans la confiance en soi
Cortex orbitofrontal - une partie du cortex préfrontal : identifié comme une région clé du cerveau pour déterminer le niveau de certitude qu'une personne éprouve quant à la justesse d'une décision qu'elle a prise.
L'amygdale : elle traite les réponses émotionnelles, en particulier la peur et l'anxiété. L'activité de l'amygdale peut être modulée par la confiance. Un niveau de confiance élevé peut réduire la peur et l'anxiété, influençant positivement la perception et le bien-être émotionnel.
Hippocampe : impliqué dans la mémoire et l'apprentissage, l'hippocampe soutient la confiance en soi en nous aidant à nous souvenir de nos réussites, en renforçant une image positive de nous-même et en influençant notre perception.
Comment devenir plus confiant (en soi) ?
1 - Renforcer la confiance en soi grâce à la neuroplasticité
Une fois qu'on a compris que la confiance en soi est quelque chose sur lequel on peut travailler puisque ça correspond à des endroits précis de notre cerveau, on peut utiliser ce 'savoir' pour développer des stratégies qui nous permettent de dépasser nos croyances limitantes - et souvent négatives - et d'améliorer notre bien-être général.
La neuroplasticité, c'est la capacité incroyable de notre cerveau à changer et à s'adapter au fil du temps. Ca veut dire que notre cerveau peut créer de nouvelles connexions neuronales - voire même fabriquer de nouveaux neurones- au fur et à mesure que nous apprenons et vivons des expériences. Notre cerveau évolue depuis notre naissance jusqu'à notre dernier souffle. On peut grandir et changer positivement à tout moment, peu importe notre âge. Alors, être négatif ou ne pas croire en soi n'est pas une fatalité !
Comment?
En entraînant notre cerveau à voir les choses sous un angle différent. Imaginez que vous apprenez à votre cerveau une nouvelle langue : celle de la pensée positive. Commencez par de petits exercices quotidiens, comme identifier une chose positive par jour, même dans les situations difficiles. Défiez vos pensées négatives en cherchant des preuves du contraire. Entourez-vous de personnes optimistes et inspirantes. Notez régulièrement ce pour quoi vous êtes reconnaissant. Comme pour tout ce qu’on apprend, devenir plus “positif”, et donc prendre plus confiance en soi, demande de la régularité. Vous ne changerez pas du jour au lendemain, mais chaque petit pas compte. Et la bonne nouvelle ? Vous pouvez commencer dès maintenant !
PS : J'ai beaucoup parlé des bienfaits de la positivité et du cerveau dans ma newsletter ici.
2 - Comprendre ses biais
Un manque de confiance en soi peut conduire à des biais cognitifs tels que :
Le doute de soi qui consiste à remettre en question ses capacités et ses décisions, ce qui nous conduit souvent à hésiter à poursuivre nos objectifs. Le doute de soi peut nous empêcher d'agir par peur de l'échec ou de ne pas être à la hauteur. Si vous remarquez que vous vous remettez constamment en question, il est peut-être temps d'apprendre à vous faire davantage confiance.
Le monologue intérieur négatif fait référence au dialogue interne qui est critique et minant. Il renforce également ce sentiment de ne pas être “à sa place” et le sentiment d'échec. Ce type de discours est un véritable obstacle à la réalisation de nos objectifs personnels et professionnels. La clé est d'apprendre à être plus bienveillant envers soi-même. Et oui, c’est tout à fait possible, mais comme on l’a vu un peu plus haut, ça demande du travail et du temps.
Le syndrome de l'imposteur se caractérise par le sentiment d'être un imposteur et de ne pas mériter ce qu’on a. Quand on souffre du syndrome de l'imposteur, on attribue souvent nos succès à des facteurs externes tels que la chance ou la coïncidence plutôt qu'à nous même. Cela peut entraîner une anxiété chronique à l'idée qu'un jour ou l'autre, les gens se rendent compte qu’on est incompétent, malgré les preuves du contraire. Le syndrome de l'imposteur se distingue d'un manque général de confiance en soi, parce qu'il persiste même en cas de succès.
Si vous voulez en savoir plus sur les biais, j’en ai parlé ici.
Renforcer notre confiance en soi peut 'recâbler' le cerveau, en réduisant nos préjugés et en favorisant un état d'esprit plus positif. On en reparlera dans la prochain newsletter "Confidence and Coaching".
Si vous voulez en savoir plus, on peut en parler de vive-voix, contactez-moi à l'adresse suivante ftemmar@englishwithferiel.com ou sur linkedin ou instagram.
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Si vous voulez en savoir plus sur le sujet et/ou une partie de mes sources - qui sont super intéressantes au fait - cliquez ici (les videos ont des sous titres en anglais)
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